besoin d aide
Modérateurs : E2PZ, Lucius Maximus
besoin d aide
bon les mec et les fille osi vu ki yen a maintenan, j ai besoin d aide.... j ai une diserte de philo a fair pour avan les vac....et la c le drame!
sujet:peut on comprendre une culture etrangere?
si vous avez des bonne idéés je sui prenneur!!
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- Pleinelune
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- Gilneas
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On peut la comprendre sur le fait qu'une culture etrangere est basée sur une ou plusieurs culture ancestrale, respects des traditions etc ... donc pour comprendre cette culture il faut étudier ses traditions et son origine.
De plus le cadre de vie, influence la culture .
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A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
- Gilneas
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Sinon j'ai trouvé ca :
Et
Et
Voila la flemme de chercher plus ^^
Bonne lecture
Une interrogation sur la culture des autres
Concordance et discordances, accord et désaccords, jeux et enjeux autour de la notion de culture, la seule question qui n'est pas posée est de savoir si les immigrés, intéressés au premier chef par le débat sur la culture (la culture qu'on leur confère ainsi que les incidences culturelles dont on les rend responsables) qu'on engage à leur propos, pour ne pas dire derrière leur dos et sur leur dos, sont d'accord sur toutes les définitions, implicites et explicites, qu'on donne au mot culture. Cela n'est pas sûr. Comme s'il n'y avait de discours possible sur la culture que le discours culturel discours de gens cultivés , ne sont exclus de cet échange entre complices que les immigrés eux- mêmes . N'est ce pas, sans doute, parce qu'on admet (et on admet parce que cela est dans la réalité) que ce qui caractérise la classe des immigrés et caractérise leur culture, est que, l'une, se définit dans son rapport à la culture par le fait qu'elle n'a pas de discours autonome pour rendre compte de son expérience; et l'autre, par le fait qu'elle est toute pratique, et toute en pratiques. Mais peut-on énoncer cela sans énoncer du même coup que c'est là une question typiquement intellectuelle .Question typique d'intellectuels que de vouloir qu'il n'y ait de culture que quand il y a et là où il y a un discours. S'interroger sur la culture des autres ou les interroger sur leur culture, ce ne peut être que, tantôt, pour arriver au constat de non culture, que ce constat s'avoue explicitement ou, pire, qu'il se masque sous les apparences de relativisme culturel c'est ce que sont, au fond, les "cultures populaires ou, variantes actuelles de celles-ci , les "cultures des Immigrés" , car c'est un fait de structure que, dans une société stratifiée, la culture s'oppose à la non culture et la culture populaire n'existe que par opposition à la culture consacrée (de la même manière, dans une société pour ethnologues, la culture s'oppose à la barbarie et, tantôt, pour la louer. Mais alors au nom de quels principes et en fonction de quels critères En fait, par une espèce de paralogisme premier qu'on retrouve en beaucoup de discours sur la culture, on a peine à se rendre compte que tester la culture des autres, c'est en réalité tester la distance à notre culture, la différence avec notre culture et, en définitive, c'est tester notre culture; s'interroger sur la culture des autres, c'est en fait s'interroger sut notre culture et il faut une cécité bien ancrée dans l'expérience raciale de chacun pour ne pas s'apercevoir que ce qui est au centre de cette interrogation, c'est bien la culture propre à la société qui a produit cette interrogation et non pas les cultures étrangères, les cultures des autres sur lesquelles on fait porter apparemment l'interrogation. Ne faudrait-il pas alors retourner totalement le questionnement, retourner la totalité de l'interrogation au lieu de s'évertuer à ajuster les questions au "niveau", toujours vers le bas, qu'on croit plus accessible aux gens qu'on interroge et aux cultures sur lesquelles on s'interroge. Faute d'opérer cette révolution dans les questions qu'on pose, on se condamne, peut- être, à ne jamais entrevoir cela dont, au fond, on ne peut rien dire et dont on n'a rien à dire, tant qu’on reste dans la sphère de la culture consacrée (ou dominante) et du discours sur cette culture.
Et
Le discours sur la culture des autres
Et l'ethnocentrisme, ce travers impénitent qui se lit jusque dans l'acte qui consiste à le nier ou à tenter d'en réduire les illusions, se donne le mieux à voir dans ces jeux qu'on se plaît à relever, ou à inventer, entre des symbolismes sociaux, entre des pratiques symboliques, éloignés les uns des autres mais que l'histoire amène à se confronter dans une relation d'interaction dissymétrique: multiples "réinterprétations" des conduites, telles qu'elles s'opèrent dans le contexte de l'immigration et, parfois, ne continuent à la faveur de l'immigration mais hors de l'immigration; réévaluations de la signification symbolique de ces conduites emprunts et toutes sortes de transpositions dont s'accompagne l'immigration; jeux et combinaisons de toutes formes, auxquels l'immigration donne lieu, entre le fond et la forme, entre la structure et les éléments adventices ou entre les structurel et le conjoncturel, entre le substrat et les apports extérieurs ou entre l'essentiel et l'accidentel, entre la syntaxe et le lexique parler le vocabulaire d'une culture selon la grammaire d'une autre culture, sorte de "sabir" culturel , etc. Mais à suivre cette inclination, par ailleurs fort séduisante, car elle a pour elle l'évidence du sens commun, surtout quand elle prend le parti de tout ignorer des effets de la domination, c'est-à-dire des conditions sociales dans lesquelles s'engage la confrontation qui s'instaure, à l'occasion de l'immigration, entre des cultures situées elles mêmes dans des rapports de domination symbolique et, plus fondamentalement, entre des porteurs ou des pratiquants de ces cultures, engagés nécessairement, eux aussi, dans des rapports sociaux de domination à quelque bord qu'on appartienne, dominant ou dominé, on est toujours engagé dans un rapport social de domination, mais ce rapport est plus intimement, plut intensément présent dans les pratiques des dominés qui, pour cette raison, en sont toujours marquées culturellement , on ne fait que succomber à cette autre illusion qui présente les contacts culturels, en quelque circonstance qu'ils si produisent, comme une manière d'échange sur le modèle, pour user d'une métaphore mécanique, du mécanisme des vases communicants: la culture vient combler les vides; il est vrai que la nature (en tous les sens du terme, et, ici, en tant qu'elle s'oppose k culture) a horreur du vide. Qu'est-ce à dire au juste. Cela veut dire un peu de cette culture, la culture allogène réduite à des miettes de pratiques saisies hors de l'ensemble symbolique dans lequel elles prennent leur sens et dont elles tiennent leurs règles de fonctionnement et même, le moins possible de cette culture ou les choses les moins signifiantes, c'est-à-dire les plus facilement réductibles (et cela, même dans le cas de figure où cette culture est chez elle et que la confrontation a lieu chez elle, cas de l'affrontement des cultures consécutif à la colonisation) ; et beaucoup, le plus possible et le plus essentiel, de cette autre culture, la culture dominante et culture de la société dominante (et cela,. même lorsque cette culture est hors de chez elle, culture hégémonique et expansionniste à travers la colonisation et après la colonisation): voilà que de ce choc résulterait (en théorie) quelque réalité culturelle nouvelle (mais, en vérité, fort peu nouvelle, même si l'illusion d'une nouveauté qui adviendrait ainsi à la culture des dominants autorise qu'on en parle trop abondamment) susceptible de constituer, dans un cas, et à la rigueur, un enrichissement (culturel) pour la culture des dominants et, dans l'autre cas, et au mieux, un "amendement" (culturel) qui viendrait à la culture dominée de la chance qui lui est ainsi donnée de rencontrer et de côtoyer la culture des dominants, de s'y être frottée comme on dit, de se "civiliser" au contact des Civilisés et cela dans la meilleure des hypothèses, à condition, est-il sous-entendu, qu'elle le mérite, qu'elle ait les dispositions préalables qui lui permettront de tirer profit de la situation nouvelle.
Et
Comprendre une culture
Décidément, l'ethnocentrisme culturel est quelque chose d'irréductible. Peut on seulement comprendre une culture? Est- ce humainement possible? N'y a-t-il pas une limite qui est contenue dans la notion même de culture? En quoi puis-je comprendre une humanité qui a une expérience culturelle radicalement autre? C'est le problème de la phénoménologie se demandant s'il ne faut pas reconnaître qu'il y a une expérience originaire du social et que comprendre ne se peut que sur la base de cette expérience et de ses variations imaginaires. Merleau Ponty disait en effet que pour comprendre le schéma des relations de parenté tel que le représente l'ethnologie, et le comprendre comme tel et non pas comme une symbolisation de la structure de l'atome, il faut injecter sa propre expérience. On ne peut comprendre le social, le culturel, sans construire pour cela une grille; une grille tirée certes de la réalité qu'on se propose de comprendre, mais tirée par celui qui se propose de comprendre, c'est-à-dire par un sujet pensant et, en d'autres termes, par une société (ou une culture) pour laquelle il y a une culture à comprendre et aussi une sociologie et une anthropologie chargées de cet acte de compréhension.
La naïveté est de croire qu'il puisse exister une grille en soi ou, au contraire, qu'on puisse comprendre en se passant de grille.
Voila la flemme de chercher plus ^^
Bonne lecture
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
merci les ga, si vous avez d otre idé esité pas , merci bocoup gilneas j ai imprimer le tous me reste plus ke a lire!!
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- Lucius Maximus
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- Inscription : 11 févr. 2006, 00:37
hummm bon sujet ça, faut taiter un peu d'autrui aussi la dedans. Donc on peut comprendre une culture en cherchant les ressemblances avec sa propre culture par exemple.
d'autre part on peut penser que sa propre culture te placera en qualité de juge, plein d'appriori sur une autre culture. La superiorité des uns sur les autres (la je vois un exemple simple, le bon sauvage de rousseau par exemple) sinon les textes de gil sont trés bien et te donne une bonne base de départ.
d'autre part on peut penser que sa propre culture te placera en qualité de juge, plein d'appriori sur une autre culture. La superiorité des uns sur les autres (la je vois un exemple simple, le bon sauvage de rousseau par exemple) sinon les textes de gil sont trés bien et te donne une bonne base de départ.
rohhhhhh les mec c trop compliquer vo idé ca me fou le seum tt cette philo, moi je dit un gro tarpé c les seul avantage avan d aller en philo^^
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- Gilneas
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- Inscription : 17 juil. 2006, 12:23
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En philo tu peux dire nimporte quoi (ou presque) et tu as auras des points ( a condition que tu developpes tres bien tes idées et que tu donnes des arguments et exemples).
Enfin ca depend du prof aussi :p
Mais je vais pas te donner de mauvaises idées donc m'ecoutes pas ^^
Enfin ca depend du prof aussi :p
Mais je vais pas te donner de mauvaises idées donc m'ecoutes pas ^^
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- Messages : 381
- Inscription : 19 févr. 2006, 13:12
oué c pas mal c ngk, mais devellope un pe commen ca il son different ethymologiquement ??
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- Messages : 381
- Inscription : 19 févr. 2006, 13:12
si tu prends le mot "peut" dans le sens possible, réponds tout simplement "oui"
car il est tout a fait possible de comprendre une autre culture
vala c t le mot de celui ki a pa envie de parler d un sujet aussi etrange
apres ca dépend de ton nivo d etude, mé tu peux te permettre de répondre n importe quoi tant que tu argumente
le maitre mot est simple : " Disserter, c'est DEMONTRER"
donc si t nul en logique et incapable de faire une démonstration, ben tu te tapera une taule ... comme moi
car il est tout a fait possible de comprendre une autre culture
vala c t le mot de celui ki a pa envie de parler d un sujet aussi etrange
apres ca dépend de ton nivo d etude, mé tu peux te permettre de répondre n importe quoi tant que tu argumente
le maitre mot est simple : " Disserter, c'est DEMONTRER"
donc si t nul en logique et incapable de faire une démonstration, ben tu te tapera une taule ... comme moi
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